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Une grande absence, beaucoup de nostalgie à propos de ce voyage, mais nous avons promis de finir le blog, pour nous et surtout pour ceux qui nous ont suivi (et nous suivent encore, hein Eric!). Aller, on y retourne:
Nous reprenons la route 66 à partir d'Alburquerque dans le sens du retour cette fois mais sous un magnifique soleil
Nous retrouvons un paysage qui nous est "familier":
Fait toujours aussi marquant pour nous, le port du casque n'est pas obligatoire dans certains états, on l'imagine toujours sur un chop mais on oublie que ça s'applique aussi sur les sportives:
Habiter au milieu de nul part...:
Nous ne sommes pas encore à l'époque des grandes chaleurs mais déjà ces vaches cherchent désespérement de l'ombre:
Vestiges d'une vie passée...
C'est vraiment un retour sur nos pas mais que nous apprécions pleinement avec la méteo...
... et l'occasion de gouter un barbecue ribs tradionnel:
Et pour le milkshake, nous choisirons ce diner installé depuis plus de 50 ans. Celui ci est resté bloqué sur les années de ses débuts pour notre plus grand plaisir:
Elles n'ont pas bougé en 6 mois...
A Seligman nous nous arrêtons chez le célèbre barbier qui est à l'origine avec quelques autres de "l'historique route 66". Comme la coutume le veut, nous avons déposé notre carte de visite parmi les miliers d'autres!
Cette photo aurait pu être prise il y a trente ou quarante ans...
La route 66 nous avait décu en hiver, les villes étaient mortes, l'ambiance inexistante,... alors que cette fois nous en profitons comme nous l'imaginions à l'aller. Quel bonheur!
Petite photo souvenir, voilà comment nous avions visité Seligman lors de notre premier passage:
C'est tout de même plus sympa avec le soleil
Le soleil se couche, arrêt pour le plein dans cette station fonctionnant encore à l'ancienne avec le vieux pompiste qui offre le service, on se croirait dans un film!!!
A Kingman, nous ne resisterons pas devant cet authentique diner souvent recommandé:
Les p'tits paniers de différentes couleurs pour différencier les burgers choisis et les frites.
Petite photo souvenir pour Bulli devant la pub d'un magasin spécialisé dans la vente de pièce neuve pour VW aircooled.
-- petite parenthèse: cette photo apparait dans le reportage sur notre voyage dans le "combi magazine" n°10 de décembre 2012! --
Ca sent le retour....
Nous prendrons une section de la mother road que nous n'avions pas pris à l'aller... oui JC on sait, on a un feu grillé, ça fait presque 20 000 km
... désertique...
...et sauvage...
Nous croiserons la traditionnelle caravane de moto qui cruisent sur la route mythique:
Sinon... personne:
Sur plusieurs miles, les gens marquent leur passage avec des messages fait de cailloux sur les talus ,
Ce volcan s'est éteint il y a de nombreuses années... il se font parfaitement avec le calme ambiant:
Booorn to be wiiiild !!!
Vous vous souvenez du film ?
Après ce cliché tant attendu de la route 66, une nouvelle étape nous attend avec la visite d'une ville... fantôôôôme !
Nous continuons l'aventure au Nouveau Mexique en visitant les Whites Sands.
Imaginez un paysage de sable blanc au milieu des montagnes...
L'endroit n'est pas totalement deért et de nombreuses espèces y vivent dont ce rabbit aux oreilles démesurées:
Malgrè un soleil un peu timide, le sol réflèchi la lumière et il est dur de garder les yeux ouverts sans lunettes.
Des routes qui nous rappellent celles de la Vallée de la Mort:
Bon, là, ne demandez pas ce qui lui est passé par la tête, c'est bientôt la crise de la quarantaine...
On a dit à Stéphanie que tout ce qui était petit était mignon....
On validera pas l'opération car ça fait un trop grand décalage
On continue dans la série du n'importe quoi
Le jeu favori des jeunes... et des moins jeunes : dévaller les dunes en sautant, glissant...
Bulli nous attend sagement...
C'est t-y pas mignon?
Voilà, on s'en va, pour vous raconter la suite
Nous entendons souvent parler de la Californie pour ses trésors de vieilles caisses, gardées saines grâce au climat sec, mais le Nouveau Mexique n'a rien à lui envier, surtout en ce qui concerne la quantité! Si ce n'est pas là que nous en voyons le plus rouler, c'est ici que nous contemplons le plus grand nombre, à tel point que nous ne prenions plus de photo sur la fin!
En voici quelques-unes (que les non-amoureux de vieille feraille passent directement à la fin de l'article, on a pensé à vous aussi! )
Impossible de faire une vue d'ensemble tant cette autre "casse" est grande!
Brulées par le soleil mais rarement corrodées, de multiples bases de restauration attendent de meilleurs jours:
Un corvair pick-up sert de porte-drapeau:
Des centaines d'autos des années 30 aux années 70!
Et encore une un peu plus loin!!!
Au second plan, le coin des Volkswagen qui n'est pas en reste (Combi, Variant, Karmann,...):
Chassis, Sedan, Roadster, etc, toutes des bases de Rod qui nous font baver...
Celle-ci est spécialisée Volkswagen, également fermée...
Au premier plan, un modèle 15 fenêtres identique à Bulli!
Malheureusement pas d'Ovale découvrable qui pourrait remplacer la cox de Stéphanie...
Nous nous sommes arretés chez un particulier pour jeter un oeil au pick-up qu'il vendait. Le pick-up ne nous intéresse finalement pas, mais le propriétaire super sympa au look biker nous ouvre son garage et nous permet de détailler le Rod qu'il se construit:
Il maîtrise le sujet et nous montre des photos de son ancien drag sur lequel il a couru pendant vingt ans. Il finit la visite par ce véhicule qui a servi pour une production hollywoodienne:
Nous reprenons la route...
... et nous venons de nous faire doubler par... une maison!!!
Après la petite pause devant la Texaco au Texas, on recidive avec la Sinclair au Nouveau Mexique! On serait bien repartis avec le poteau et son enseigne, mais plus de place dans Bulli!
Pendant plusieurs miles le paysage sera composé de roches volcaniques:
Nous croiserons plusieurs élevages de vaches que l'on pourrait presque appeler intensifs...
Nous avons oublié que le froid existait, mais il nous a rattrapé. Nous avons même eu un peu de neige mais heureusement, cela n'a duré que quelques jours!
Eh oui, c'est un Mc Donald et non un diner! Beau décor pour se réchauffer un peu et surtout avancer sur le blog!
Après le monde souterrain des Carlsbad Caverns, nous allons à la rencontre des Martiens en passant par Roswell, qui se situe aussi dans le desert du Nouveau Mexique, une étape que nous étions pressé de découvrir.
Pour être francs, le mythe a mal vieilli et le centre ville aux façades tristes ne comporte que quelques vieux magasins de souvenirs à l'effigie du bonhomme vert... ou bleu:
La ville propose un musée où nous pensions avoir des informations un peu sérieuses sur ce qui s'est réellement passé.
Quelques panneaux comme celui qui suit présentent les "faits" de l'époque: retranscription des différents témoignages avec photo et rapide présentation de la personne...
Voici l'histoire:
Le 4 juillet 1947, William « Mac » Brazel, propriétaire d'un ranch dans une zone désertique et peu accessible près de Roswell, découvre des débris sur ses terres. Brazel, intrigué par l'aspect des matériaux, décide de les montrer à ses plus proches voisins situés à plusieurs kilomètres de là, la famille Proctor. Ceux-ci lui conseillèrent alors de contacter le shérif de Roswell qui jugea opportun d'avertir la base militaire la plus proche.
Le lieutenant Walter Haut fit alors un premier communiqué de presse à la demande du colonel William Blanchard commandant de la base de Roswell, où il annonça qu'ils avaient récupéré une soucoupe volante écrasée près d'un ranch à Roswell, déclenchant ainsi un fort intérêt de la part des médias du monde entier. Le lendemain, le brigadier général Ramey de la base de Fort Worth où avaient été transportés les débris par avion pour examen, publia un rectificatif annonçant que la soucoupe volante était seulement un ballon-sonde de l'armée. Une conférence de presse fut organisée dans la foulée, exposant aux journalistes des débris facilement identifiables de l'objet crashé, confirmant officiellement la thèse du ballon.
En 1978, le lieutenant-colonel en retraite Jesse Marcel, qui était arrivé le premier sur les lieux et qui était impliqué dans la récupération des premiers débris en tant que responsable de la sécurité de la base de bombardiers atomiques, déclara à l'ufologue Stanton Friedman venu l'interviewer, puis à la télévision, que ceux-ci étaient sûrement d'origine extraterrestre. Il ajouta que les débris montrés par le général Ramey aux journalistes n'étaient pas ceux que Marcel lui avait apportés de Roswell. Il fit part de sa conviction selon laquelle les militaires avaient en réalité caché la découverte d'un vaisseau spatial.
En 1991, le général Du Bose, chef d'état-major du général Ramey en 1947, déclarait que ce dernier avait substitué aux débris transmis par la base de Roswell ceux d'un ballon météo montrés aux journalistes.
Un peu plus loin, on nous présente un exemplaire du journal d'époque:
Pour le reste de la visite, passé les premiers panneaux, on s'éloigne des faits et le folklore prend le dessus...
Une petite vue d'ensemble, vous plaigniez pas nous à ce stade on avait déjà payé l'entrée :
Différentes mise en scène:
Pour nous occuper un peu, ils ont rassemblé quelques coupures humoristiques:
Nous sommes un peu restés sur notre faim car ils n'avaient pas grand chose de concret à proposer, si ce n'est les copies de certains témoignages.
Ici, le Mc Donald a des allures de soucoupe volante:
Partout, un p'tit clin d'oeil:
En postant votre courrier dans cette boîte aux lettres, pas sûrs que ça arrive dans les meilleurs délais si ça délivre plusieurs galaxies:
Le truc pénible avec les soucoupes, c'est pour se garer:
Voilà, nous avons passé une petite journée à Roswell. Nous ne saurons jamais s'il s'agissait d'un ballon météo de l'armée ou des p'tits hommes verts... Et vous, qu'en pensez-vous?
On commence par les explications:
Peu après la guerre de Sécession, un jeune cow-boy nommé James White résolut d'aller voir ce qui se dissimulait derrière une ouverture dans la terre et, simplement muni d'une lampe à pétrole, il s'y engagea. II découvrit une merveilleuse caverne et fut fasciné par les étranges formations colorées de sa roche autant que par les nuées de chauves-souris qui y avaient élu domicile.
Une épaisse couche de guano (crottes de chauve souris) tapissait le sol : il ne tarda pas à envisager tout le parti qu'il pourrait en tirer. S'étant associé à quelques fermiers du voisinage, il exploita cet engrais naturel accumulé au cours des siècles et dont plus de 100 000 tonnes furent extraites en vingt ans.
Ce commerce fructueux lui permit de procéder à des explorations souterraines approfondies. Les scientifiques ayant compris l'intérêt de ce phénomène géologique, le parc fut bientôt créé.
Il prit des photographies de la grotte qui furent exposées à Carlsbad en 1915 et firent sensation. L'exploration continua dans la deuxième moitié du XXe siècle.
Maintenant, place aux images!
Et nous voici partis pour une balade de quelques miles sous terre:
Les grottes ont servi comme base photographique pour le film Voyage au centre de la Terre.
Cette colonne mesure plus de 20 mètres!
On n'oublie pas l'astuce: les stalagMites Montent et les stalagtiTes Tombent !
Tous ces décors sont impressionants!
Et on fini par cette énorme colonne
Bien qu'il ne soit pas facile de vous présenter des photos de qualité, nous avons beaucoup aimé cet endroit!
Arrivés à fort Stockton, nous avions le choix entre visiter le fort, dont il ne reste que peu de chose réellement d'époque,...
... ou nous promener pour tomber par hasard sur un garage tenu par un vieux monsieur spécialisé dans la construction de buggy artisanaux pour les cow boys qui arpentent leurs immenses terres, les chasseurs et les paysans locaux. Les abords et l'arrière cour du shop prennent des allures de vieux cimetière...
Petite vue d'ensemble de l'atelier:
Ca rigole pas et ça débite avec autant de bloc moteur en retour de rectif':
Voilà à quoi ressemble le buggy local. On est très proche de Mad Max avec les portes fusils, les feux de travail, etc... L'ensemble est rustique mais indestructible:
Servant de petit utilitaire à tout faire, l'arrière dispose d'un petit plateau pour les outils ou autres... Bon, si c'est Ludo ou Jimmy qui conduisent, vaut mieux tout sangler sous peine d'arriver à destination sans la cargaison!
Le véhicule d'entreprise? Home made bien sûr!
Aux abords du garage, des tonnes de pièces stockées il y a bien longtemps, bénéficiant d'un climat qui les rend encore exploitables... mais pour combien de temps?
La "casse" est constituée principalement de combi qui donnent leurs trains roulants, moteurs et transmissions pour la construction des buggy. L'ensemble des éléments de carrosserie a été "pillé" par un anglais il y a quelques années:
La majorité sont des bus d'avant 72 et seraient restaurables...
Un variant attend des jours meilleurs, sans grand espoir:
Comme nous l'avons vu à plusieurs reprises depuis le début de notre voyage, l'abondance créé le gachi:
Avenir peu certain pour cet ensemble d'avant 1960 où l'on peut encore voir le pied moulé:
La plus propre de toute est cette découvrable de 60 était dans un très bon état de conservation. Pour se rassurer, Jimmy s'est renseigné, elle ne sera pas découpée!
Souvenez-vous de la jeep des Dupond et Dupont dans Tintin au pays de l'or noir!
il y avait aussi du beau monde du côté des vieux tracteurs:
Aller, on embarque celui-ci pour un futur projet
Le propriétaire des lieux apprécie les voitures anciennes, celle-ci est en attente de restauration:
Les américains aiment partager et ce monsieur, malgré son travail, nous accordera du temps et une visite guidée de ses garages personnels. Cette cox "off road" était celle avec laquelle il courait:
Ce ford A nous a fait craqué à plus d'un titre: déjà c'est le même que le notre donc il est forcément beau , après son état et sa patine étaient superbes mais surtout, c'était sa première voiture et il a refaite avec son père...
Cette corvette est une première main entièrement d'origine, c'est sa première voiture achetée neuve!!
Dans autre hangar, coincé entre une cox et un combi, ce vieux Ford T restauré il y a de nombreuses années par notre guide:
Et pour finir, à côté d'un combi split amputé de son avant, la voiture de la grand-mère qui elle aussi, attend son heure pour une restauration:
Le Texas est un état qui nous a beaucoup plu. L'accueil y a été très chaleureux, nous y avons rencontré des gens très sympathiques et le paysage y était tout aussi agréable!
Contrairement ce à quoi nous nous attendions, le Texas n'est pas qu'un état de ranchs, de cow-boys et de vaches. Il est principalement mexicain dans le sud, mais nous avons envie de vous montrer le "cliché" de ce que nous voulions voir:
On commence par la petite maison dans la prairie...
Non, Laura Ingalls n'est pas sur la photo suivante, mais tout aussi mignon, Jimmy cueille des fleurs pour sa chérie!
Inhabituel pour nous, des champs de cactus...
... et de moutons:
Bon, pour ce qui est des ranchs, on a pas grand chose à vous montrer car généralement, ce que l'on peut voir, c'est cela:
Les terrains sont sans fin et les propriétaires habitent très très loin de la route. Nous ne verrons rien d'autre que des portails...
"Last Dollar Ranch"
Stéphanie est une vosgienne dans l'âme alors dès qu'il y a des vaches...
Une pensée pour Pépére et Mémére en voyant ces Longhorn:
Le Texas regorge de puits de pétrole comme ceux-ci:
Notre monture n'est pas de circonstance décor de western:
Chaque article a sa rubrique vielles caisses, voici donc les reliques que nous avons vues sur ce parcours:
Il ne s'agit pas d'une pause photo, mais d'un arrêt d'urgence pour changer la pompe à essence. Bien vu pour Jimmy qui en avait une d'avance car la route est calme...
... très très très calme... 50 miles devant, 50 miles derrière, et au milieu: nous, juste nous!
Bulli repart mais aura besoin d'une petite révision à la prochaine ville (bougies, fils de bougies, durites, filtres à essence).
Nous sommes accueillis par un bip-bip à Fort Stockton, mais ce n'est pas sur que le fort soit la partie la plus intéressante pour nous à visiter ici...
Nous avons été accueilli à New Orleans avec une magnifique voiture des années 50, juste avant de quitter la ville nous croisons la tendance actuelle...
Non, ce n'est pas la verte mais celle devant...
Nous y voilà: une voiture des années 80, éventuellement une peinture qui claque, mais surtout des jantes SURDIMENSONNEES! On vous en met un échantillon:
A défaut de trouver de la vie à Bâton Rouge, nous flânons le long du Mississippi...
L'Amérique, c'est aussi ça:
A l'abri des intempéries et servant d'enseigne, ce charmant Chevrolet:
Dans un autre antique, nous tombons sur ce jeu nous rappelant ceux de San Fransico où Jimmy laissa son argent de poche:
Cette fois, c'est la version casse auto, il faut les prendre à la grue et les mettre dans "la presse"!
Ah Stéphanie, une vraie cruiseuse!
"Bijouterie Sarko", notre actuel président se serait-il déjà reconverti dans plus lucratif?
A la sortie d'un p'tit village, ce rats rod a attiré notre attention...
Nous sortons du bus appareil en main et le patron des lieux nous invite à une petite visite guidée...
... nous repartirons même avec un tee-shirt du shop!
Arrivés à Houston,...
... nous partons pour une petite balade au centre ville:
Le boulevard principal présente une architecture très moderne.
Ca tue le métier de roadtripeur!
Houston est une championne de l'échangeur:
Il y a un soucis? Non, les pompiers sont tout simplement partis faire leurs courses avec le camion d'intervention!
Jimmy aime photographier les vieux ponts:
Quel plaisir dans les petits villages de pouvoir encore admirer ces vieilles publicités...
... et de prendre la pose devant une vieille station abandonnée:
Nous arrivons à San Antonio et débutons par la visite du Fort Alamo:
le siège de 1836 est un événement majeur de la guerre d'indépendance du Texas et de la constitution d'une république indépendante du Mexique.
La lutte était inégale, les défenseurs du fort, dont le célèbre Davy Crockett, étaient moins de 200 contre 1500 hommes dans l'armée mexicaine. Le siège, qui dura treize jours jusqu'à l'assaut du 6 mars, a retardé et affaibli l'armée mexicaine (environ six cents soldats mexicains tués). Cet épisode entraîna pour le Mexique la perte du Texas quelques semaines plus tard.
Il reste peu de vestiges de cette époque, et nous avons surtout profité des jardins:
Pas de doute, on est au Texas!
Un cours d'eau forme une boucle dans le centre ville et offre une jolie balade sur plusieurs miles:
La grimace qui fait rire Jimmy...
Ca fait fondre les filles pendant un repas, les Méxicains qui poussent la chansonnette... Le truc de lourd pour les mecs:
La roadtripeuse s'attarde sur les canards...
... pendant que le roadtripeur copine avec les écureuils:
Petite démonstration de danse :
La cow-girl du jour: Stéphanie prépare sa tenue pour la prochaine destination...